Appartement de Jerry Melaga

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Spoiler:

De retour du cimetière de la ville dans le but d'y déposer un bouquet de fleurs en la mémoire de son père, Jerry n'aura pas perdu un instant de plus avant de rejoindre le centre-ville et, l'immeuble luxueux dans lequel il réside.
Son véhicule garé dans un parking souterrain à une place qui lui est attitrée, c'est au moyen d'un ascenseur qu'il finit par rejoindre le troisième étage, là où se trouvait, son appartement. D'ailleurs en cet immeuble il n'y a pour tout avouer, qu'un seul et unique appartement, par étage.
Celui de Jerry est encore une fois, sobre, sans décoration inutile à ses yeux, pas de tableau, pas même un tapis à l'entrée. Tous les ustensiles sont quant à eux soigneusement rangés, chaque chose à sa place, c'est ainsi.
Par ailleurs, l'architecture y est de plus modernes, il ne possède par exemple, pas de chambre à proprement parlé mais son lit bien que dissimulé, se trouve au cœur de son appartement. La plupart enfin pourraient être surpris par le manque de, cuisine et pourtant, il en possède bien une mais tout le mobilier de celle-ci semble être dissimulé derrière des cloisons coulissantes. Ah le progrès..

De retour donc à son appartement, Jerry constate et ce, avec un semblant de joie que celui-ci vient tout juste d'être nettoyé de fond en comble par sa femme de ménage qui n'est déjà plus là. Courrier présent, toujours au même endroit et déjà, il l'ouvre, sans plus attendre.
Aucune mauvaise nouvelle visiblement et à la vue de l'expression de son visage, rien qui ne pourrait le contrarier.
Les enveloppes vides rejoignent la poubelle et quand au cœur des courriers, certains sont classés dans des dossiers tandis que d'autres rejoignent une sacoche qu'il porte dors et déjà en bandoulière. Un texto vient faire vibrer son téléphone, rien d'important visiblement, Jerry n'est pas du genre à recevoir tout un tas de messages, si ce n'est encore une fois, en relation avec son entreprise.

Et il ne s'est pas trompé, un simple rappel de son assistante de direction au sujet d'un rendez-vous confirmé à venir. Plus la peine de s'éterniser en ce lieu qui est chez lui pourtant et c'est après avoir changer de veston qu'il finit par sortir définitivement pour ce jour ou du moins, jusqu'au soir venu.
Forcé désormais de rejoindre ses bureaux qui en réalité ne se trouvent pas très loin de sa position actuelle, c'est à pieds qu'il prit la décision de s'y rendre afin de, ne pas être gêné par la circulation qui est de plus denses..